Nous brûlerons les ponts qui nous sont coupés
Ce projet exhorte au lâcher prise et à l’hardiesse qu’offrent la nuit, la fête, le désordre et l’abandon.

Inspirée du charivari moyenâgeux et de ses expériences de l’underground alsacien et montréalais, je vacille entre un persona rebelle qui se soustrait à l’injonction de productivité et celui d’une personne qui se conforme à une vie rangée.

C’est pourtant à partir de ces tiers lieux, entre culture et contre-culture, que nous pouvons être les deux à la fois.

2024


















📸 1, 5, 7: Simon Bernier Bilodeau
📸2-4 , 6, 8 : Fanny Latreille



Remerciements : Joevin Bauvais, Pauline Ebel (soie lait), Sébastien Goyette Cournoyer, l’Atelier Circulaire, les Ateliers Bellevilles, l’Atelier La Coulée, L’imprimerie, Sagamie et Langage Plus.